qui sommes-nous ?

l'A.S.B.D.R.

Ce n’est que vers la fin du XIXe siècle que la municipalité de Domme prend conscience qu’il faut sauvegarder ce patrimoine unique. En 1909, la commune décide de faire classer les remparts et de racheter les murs appartenant aux habitants. Les remparts seront inscrits aux Monuments Historiques en 1910. En septembre 1912, le ministre des Beaux Arts donne l’autorisation de les restaurer ainsi que les portes. L'ASBDR, association pour la sauvegarde de la bastide de Domme et de ses remparts, fut créée en 1993 sous l’impulsion du Général Fageolles.
Cette association a pour but la défense et la sauvegarde du site classé de Domme et du périmètre protégé qui l’entoure, en particulier des remparts et des œuvres de défense de la Bastide. Elle entend veiller au respect des traditions périgourdines en matière de style architectural et promouvoir une certaine unité dans la décoration extérieure des habitations. Elle travaille en liaison étroite avec les services administratifs compétents en matière de défense des sites et des monuments historiques, mais également avec la mairie et les différentes municipalités depuis 1993.

À partir de 2008, avec le projet de s’attaquer véritablement à la renaissance du Château du Roy, l’ASBDR a mis en place une équipe de bénévoles qui travaille au débroussaillage, à la coupe des arbres, à l’éradication du lierre sur les remparts. Ces séances ont lieu, généralement, le samedi matin, tous les quinze jours. En ce qui concerne le projet du Château du Roy, les bénévoles de l’association ont été partie prenante lors des fouilles et sondages entrepris sur la terrasse supérieure pour la redécouverte des fondations du donjon.

L’activité de l’ASBDR couvre aussi l’encadrement du groupe Concordia (jeunes venant de tous les pays tous les étés) pour reconstruire les murs de terrasses sous les remparts, près de la Porte des Tours. Deux membres du Conseil d’Administration assistent aussi aux réunions d’urbanisme à la mairie, et ont voix consultative. L’association compte environ 250 membres adhérents.

DOMME

PASSEZ SUR LES MARQUE-PAGE POUR LES ACTIVER ET LES LIRE....
DOMME ASBDR dordogne périgord  association pour la sauvegarde de la bastide de Domme et de ses remparts chateau du roy

La bastide de Domme fut fondée en 1281 par le roi Philippe III le Hardi, dont la volonté était d’asseoir une position stratégique entre territoire anglais et territoire français. L’implantation de cette ville neuve sur une surface de 150 hectares, se fit sur la partie orientale du mont de Domme, qui domine la Dordogne de 150 mètres. Le site présentait des atouts défensifs, puisqu’au nord la falaise assurait une sécurité non négligeable. En revanche, les difficultés d’accès à la bastide, mentionnées à plusieurs reprises par les habitants, faillirent faire échouer le peuplement de la ville. Le tracé de la bastide répond à la configuration du terrain et, comme dans la plupart des bastides en hauteur, les rues sont tracées en fuseau.

DOMME ASBDR dordogne périgord  association pour la sauvegarde de la bastide de Domme et de ses remparts chateau du roy

UNE BASTIDE

Répondant à l’origine à un plan orthogonal, la ville de Domme, tout au moins dans sa partie haute, présente un tracé en damier. Trois quartiers se distinguent dans la bastide : la ville haute, où se trouvaient les nobles, les bourgeois, les hommes de loi. Cette partie comprenait le quartier de la place de la Halle, celui du Roc de Domme avec la Barre, le quartier de la Paillole (en occitan petite paille ou plancher d’un bateau), le quartier de l’Ormet (référence sans doute aux ormeaux), le couvent et le quartier du château. Au XVIIIe siècle, on y trouve les boutiques des marchands et le presbytère.

DOMME ASBDR dordogne périgord  association pour la sauvegarde de la bastide de Domme et de ses remparts chateau du roy

3 VILLES EN UNE

La ville moyenne, avec la place de la Rode, abritait les marchands, les artisans mais aussi quelques nobles et bourgeois.
La ville basse, dont le centre était la porte de la Combe, accueillait les agriculteurs. Entre la porte des Tours et la porte de la Combe, le rempart portait le nom de cap de Lhome en 1485 et entre la porte de la Combe et la porte Delbos, le quartier s’appelait Banlaure (ce qui veut dire rempart) à partir du XVe siècle. La tradition rapporte que c’est dans cette partie de la ville que se situaient les « rues chaudes ». Au-delà des maisons, il faut imaginer qu’il y avait des jardins, des ayrials, terres, basses-cours, mais aussi des chènevières, des pressoirs à huile.
(copyright Anne Bécheau)

DOMME ASBDR dordogne périgord  association pour la sauvegarde de la bastide de Domme et de ses remparts chateau du roy

PLAN

cliquez ICI pour découvrir le plan de la Bastide de Domme.

Nous vous recommandons également d'aller visiter le site officiel de notre bastide en CLIQUANT ICI

DOMME ASBDR dordogne périgord  association pour la sauvegarde de la bastide de Domme et de ses remparts chateau du roy

restaurations


Portes et Remparts de Domme

Ce rempart était constitué d’un mur simple régulièrement percé de hautes archères (embrasure de tir verticale. A Domme, elles sont en forme de croix) cruciformes qui s’intègrent dans des niches munies de coussièges (bancs en pierre permettant aux gardes de s’asseoir à l’abri tout en surveillant les alentours). Il était surmonté d’un chemin de ronde (encore visible à certains endroits). La partie est était la plus accessible. C’est pour cela que Geoffroy de Vivans après 1588, fit ériger de ce côté le fort de Gal (ou de Ga) dont il reste les vestiges d’une tour dans l’actuel cimetière. Après la période des guerres, le rempart est laissé à l’abandon, n’est plus entretenu voire est utilisé comme carrière de pierres. Ce n’est que vers la fin du XIXe siècle que la municipalité de Domme prend conscience qu’il faut sauvegarder ce patrimoine unique. En 1909, la commune décide de faire classer les remparts et de racheter les murs appartenant aux habitants. Les remparts seront inscrits aux Monuments Historiques en 1910. En septembre 1912, le ministre des Beaux Arts donne l’autorisation de les restaurer ainsi que les portes. Aujourd’hui, le visiteur peut encore admirer trois portes d’accès à la bastide sur les quatre qui existaient initialement. (copyright Anne Bécheau)

Cliquez sur les photos ci-dessous, vous découvrirez le nom du site et son histoire.

Odyssey

PORTE DES TOURS

Odyssey

PORTE DE LA COMBE

Odyssey

PORTE DELBOS

Odyssey

PORTE DU GAL

Odyssey

LE CHÂTEAU DU ROY

Odyssey

CROIX DU JUBILÉ

Odyssey

BALUSTRADE DU JUBILÉ

Odyssey

SOURCE DE LA CANNELLE

Odyssey

l'ÉGLISE DE DOMME





MAIS AUSSI :

FONTGIRAN : Alimentées par un ruisseau qui s’écoule dans la combe de Fontgiran jusqu’au Thouran (ou Thouron), ces fontaines furent utilisées de tous temps par les habitants de la bastide. En juillet 1882, la fontaine sud, dite la Grande Fontaine, est réparée. Mais c’est en 1908 que le trop-plein des fontaines qui tombe à la porte de la Combe provoque de nombreuses querelles entre les différents propriétaires, nécessitant une réglementation, tous voulant arroser leurs terres et jardins et les plus élevés détournant les eaux avec des rigoles qu’ils creusent dans le chemin. Quant au lavoir des grandes fontaines, il est rétabli en juin 1927 pour éviter aux usagers de monter jusqu’’à la bastide. Aujourd'hui il n’existe plus.

LA CROIX SAINT JAMES : Ce nom peut faire penser à une appellation anglaise, mais serait en réalité une déformation de l’ancien prénom français Jacme, forme fréquente de Jacques. Une chapelle s’y trouvait. Quant à la croix, même si elle a été déplacée, elle est attestée depuis le XV siècle. L’ASBDR a donné conseil et aide dans la nouvelle implantation de la croix au moment où le parking Saint James en bas de la Porte des Tours a été mis en travaux.

LA CROIX DE LA PIERRE : Reconstitution avec l’aide de l’ASBDR. Il n’y avait rien. Le socle a été récupéré près de l’usine à ciment où un calvaire avait été bâti pour honorer la mémoire de deux travailleurs morts dans un éboulement.

Odyssey

PORTE DES TOURS

À l’est, la porte des Tours était celle qui restait ouverte en cas d’alerte, tout au moins au début du XVIIe siècle. Elle est flanquée de deux tours percées d’archères. À l’extérieur, deux latrines forment bretèches. La partie inférieure est constituée d’un appareil en bossages (bosses à la surface de la pierre), tandis que la partie supérieure, restaurée vers 1912, fut reconstruite en moellons (pierre non taillée? ou partiellement taillée). Les salles de l’intérieur présentent des niches à coussièges, pratiques pour surveiller les alentours. La décoration intérieure date du début du XIVe siècle. La porte fut utilisée très vite après son édification comme prison. En 1307, le roi Philippe le Bel y fit emprisonner soixante-dix Templiers qui gravèrent sur les murs de leur geôle le témoignage de leur foi envers Dieu? mais aussi leur colère envers le pape Clément V qui les avait abandonnés. Pendant la guerre de Cent Ans, des prisonniers anglais et français y gravèrent à leur tour des témoignages. En 1588, Geoffroy de Vivans modernisa la porte afin de l’adapter aux canons.

Odyssey

PORTE DE LA COMBE

Au sud également, la porte de la Combe donne accès en contrebas à la fontaine de Giran et autres fontaines qui se trouvent à l’extérieur de la bastide. Son arc segmentaire fut entièrement reconstruit au début du XXe siècle.

Odyssey

PORTE DELBOS

Au sud, la porte Delbos (du bois), sans doute nommée ainsi parce que c’est par là que passaient les habitants qui allaient chercher du bois pour les constructions. Construite au début du XIVe siècle, elle fut remaniée en 1912 pour permettre le passage de gros véhicules. En 1923, à défaut d’avoir le tramway qui desservirait la bastide, les Dommois s’accommodèrent d’un service d’autocars qui reliait la ville à la gare de Vézac. C’est à cette époque que la place devant la porte Delbos fut aménagée pour le passage des autocars et le croisement des véhicules (Délibérations des conseils municipaux de Domme des 19 novembre 1922 et 27 mai 1923).

Odyssey

PORTE DU GAL

La porte du Gal, située à l’origine à l’est, a totalement disparu. Des fortifications existent autour de la bastide dès 1281 mais ne sont toujours pas achevées en 1310. L’enceinte ne possédait pas de dispositif défensif côté nord dans la mesure où l’on avait estimé que la barrière rocheuse surplombant la Dordogne constituait un rempart naturel suffisant. Pourtant, lors des guerres de Religion, en 1588, Geoffroy de Vivans, capitaine huguenot, réussit à s’emparer de la bastide en escaladant la falaise.

Odyssey

LE CHÂTEAU DU ROY

Ce château, situé sur la partie ouest du plateau de Domme, existait en 1214. Il était alors occupé par Bernard de Casnac, que la chronique de la croisade Albigeoise décrit comme un redoutable cathare. A l'arrivée des troupes de Simon de Montfort, Bernard de Casnac s'enfuit du château laissant aux croisés le loisir de détruire le donjon. En 1257, Domme-vieille est une co-seigneurie tenue par Guillaume de Gourdon et Guillaume Bonafos. A la fin du XIIIe siècle, le château est appelé Castrum de Doma Veteri ou Domme-vieille. Cent ans plus tard, Guillaume de Domme le vend à Pons de Beynac et, en 1439, il est confisqué à Bertrand d'Abzac, le nouveau seigneur des lieux, et réuni au domaine royal. Il devient alors le Château du Roy. Il jouera un rôle important pendant les guerres de Religion. Vendu comme bien national en 1792, il fut pressenti un an plus tard par le directoire du district de Sarlat pour devenir une carrière de pierres pour la construction d'un pont sur la Dordogne. Après avoir été, pendant près d'un siècle, la propriété d'un particulier, le Château du Roy appartient aujourd'hui à la commune de Domme.

CLIQUEZ ICI pour voir un diaporama des restaurations effectuées sur le château du Roy

Cliquez ICI pour lire un compte-rendu complet des fouilles réalisées sur le Château du Roy.

Cliquez ICI pour voir le plan des sondages et fouilles au Château du Roy.

Une étude sur le château du Roy a été réalisée par Anne Becheau. Ce rapport a été reconnu par la DRAC comme un document de référence sur l'histoire de ce site. Le titre en est : "Le château du Roy à Domme - étude documentaire historique", il s'agit d'un ouvrage relié de 66 pages de format A4. Notre association en a fait tirer cent exemplaires.
Pour le commander, veuillez nous envoyer un email à l'adresse suivante : remparts24250@orange.fr ou par courrier, accompagné de votre chèque, à l'adresse suivante : ASBDR - BP 2 - 24250 Domme

Odyssey

CROIX DU JUBILÉ

La croix du Jubilé se trouvait vers 1830 sur l’Esplanade du même nom, puis elle fut déplacée sur la Barre, à l’endroit où se trouve maintenant l’ascenseur des Grottes. Elle est dorénavant dans le jardin public, mais toujours au bord de la falaise, pour qu’elle soit vue de loin. L’ASBDR participe à son déplacement en 1998.

Odyssey

BALUSTRADE DU JUBILÉ

L’ASBDR participe à la rénovation de la balustrade qui va de l’Esplanade jusqu’à «la Croix du Jubilé». Cette balustrade était inesthétique et dangereuse. L'ASBDR, en collaboration avec les municipalités en place, a proposé son remplacement et a participé financièrement au lancement de la première tranche. Ces travaux ont débuté en 2000. Le projet initial qui a été accepté était de faire alterner des piliers en pierres maçonnées avec des grilles en fer forgé, de manière à offrir la vue la plus dégagée possible sur la vallée. Puis, pour tenir compte du dénivelé entre la rue Taillefer et l’esplanade du Jubilé au niveau de l’ascenseur des Grottes, des solutions alternatives ont été trouvées, mais toujours dans le but de conserver la spécificité de la Bastide (murailles et murets) et de permettre d’admirer la vue sur la vallée.

Odyssey

SOURCE DE LA CANELLE

La source de la Canelle se situe du côté Est de la plaine de Bord. Autrefois, cette source donnait toute l’eau nécessaire pour la vie de la bastide. Cette eau pure et fraîche était acheminée par une canalisation longue de 7 kilomètres alimentant un château d’eau situé à l’emplacement actuel du nouvel hôpital de Domme. Abandonnée dans les années 1950 avec l’arrivée de l’eau de ville, cette source était envahie par la végétation mais Monsieur Dejean veillait à sa résurrection et il n’a pas fallu insister beaucoup pour que les bénévoles de l'ASBDR tentent de réhabiliter le site. Les deux bassins en aval de la source ont été nettoyés et remis en état. Ce site merveilleux et paisible est un paradis pour oiseaux et pour les promeneurs en quête de quiétude. (extrait du bulletin La Vie Dommoise d’août 2012).

Odyssey

L'ÉGLISE DE DOMME

L’église fut détruite en 1589 par G de Vivans, lorsque ce capitaine huguenot s’empara de la ville. En 1622, elle fut reconstruite par Henri Bouyssou, maitre maçon de Monpazier. C’est un vaste édifice à nef unique et clocher-mur surmonté d’une girouette qui y fut placée le 21 février 1790. Le fronton de l’église porte la date de 1622, et le porche d’entrée celle de 1883, année de sa restauration Plus d’histoire !! construite à la fin du XIIIème siècle, l’église de Domme fut détruite lors des guerres de religion en 1589 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant. Les pierres lui serviront à construire une citadelle au Nord Est de la ville.
L’église actuelle est celle de 1622 avec un ajout de 1883 : le porche d’entrée. L’église comporte quatre chapelles latérales. Jusque vers 1775, où cette pratique a été interdite pour raisons d’hygiène, des familles ont pu inhumer leurs morts dans l’église, moyennant un droit de tombeau. Un ancien curé, Guillaume Maleville a été inhumé dans le chœur en 1771. (Note rédigée pour le compte de "la vie montante", le mensuel des retraités chrétiens (Louis François Gibert). L’ASBDR a participé, à partir de 1999, à toutes les réunions pour la rénovation intérieure de l’église (traitement des murs et des joints, éclairage) et apporte son soutien financier à ce projet d’envergure..

DERNIÈRES NOUVELLES !

  • Chers adhérents passés ou présents de l'ASBDR,

    En ce début d'année nous revenons vers vous pour le renouvellement de votre adhésion.
    En effet, vos cotisations et dons sont essentiels pour la bonne marche de l'association qui, cet été encore, va conduire la campagne de fouilles au Château du Roy sous la direction de Jean-Luc Péluchon, en collaboration avec la Municipalité et la DRAC.
    Sans attendre notre assemblée générale annuelle qui se tiendra en juin vous pouvez d'ores et déjà procéder au paiement de votre cotisation soir par chèque soit par virement bancaire. (Bulletin ICI et RIB ICI
    ).

    D'avance nous vous remercions de votre précieux soutien.
    Fidèlement vôtre,
    Le secrétariat de l'ASBDR

    ______________________________

    Une campagne de fouilles archéologiques est prévue en 2024, du 16 juin au 13 juillet, période au cours de laquelle nous tiendrons notre assemblée générale annuelle.

    En ligne ICI, découvrez les notes de travail et documents historiques légués par Jean-Bernard Pasquet, notre président pendant 3 ans, et que nous remercions vivement de toute l'activité qu'il a déployée pour le bien commun. Ces documents, rédigés dans le cadre de son activité à la fédération des bastides, peuvent parfois paraître complexes - car destinés à des historiens - mais chacun pourra y trouver des éléments intéressants en fonction de ses affinités.
    Bonne lecture !

    Bien cordialement,

    Le Secrétariat de l'ASBDR

Vous pouvez agrandir toutes les photos en cliquant dessus
DOMME ASBDR dordogne périgord  association pour la sauvegarde de la bastide de Domme et de ses remparts chateau du roy

NOTRE BUREAU

cliquez ICI pour lire les statuts de l'ASBDR

Cliquez sur les bulletins de l'ASBDR que vous souhaitez lire :
Bulletin n°1 - Bulletin n°2 - Bulletin n°3 - Bulletin n°4 - Bulletin n°5 - Bulletin n°6 - Bulletin n°7 - Bulletin n°8 - Bulletin n°9
Bulletin n°10 - Bulletin n°11 - Bulletin n°12 - Bulletin n°13 - Bulletin n°14 - Bulletin n°15

MEMBRES DU BUREAU

au terme de la dernière AG


Louis Laidet, Président d'honneur
Claude Trinquand, Président
Henri Pradalié, Vice-président
Patrice Buchot, ancien Président
Maryse Vaillant, Trésorière

DOMME ASBDR dordogne périgord  association pour la sauvegarde de la bastide de Domme et de ses remparts chateau du roy


MEMBRES DU CONSEIL

● Louis Laidet
● Patrice Buchot
● Henri Pradalié
● Françis Cousin
● Claude Trinquand
● Jean-Michel Guevel
● Berryl Dessart
● Gilbert Linol
● Maryse Vaillant
● Denis Husson
● Jean-Michel Parret
● Richard Gouhier


Cliquer ICI pour lire le rapport des élections 2023.

Cliquer ICI pour lire le rapport du CA du 7-07-2023.

DOMME ASBDR dordogne périgord  association pour la sauvegarde de la bastide de Domme et de ses remparts chateau du roy

Mécénat et adhésion

Nous avons besoin de l'aide de tous, devenez un des mécènes de l'ASBDR et contribuez à l'embellissement du patrimoine dommois !
L'association a été reconnue d'intérêt général par les services fiscaux du département.

L’association  poursuit donc une activité à caractère culturel, sans but lucratif. La conséquence directe pour les adhérents est la réduction fiscale de 66% des sommes versées à l’association (dons et cotisations incluses). Pour toute question, nous contacter !

CLIQUEZ ICI pour télécharger le bordereau d'adhésion.


NOUS CONTACTER

Adresse

  • ASBDR
  • BP2
  • 24250 DOMME

Mobile

  • 06 09 74 94 36

Retrouvez-nous aussi

Powered by 123FormBuilder |